dépendance à l’alcool – Sophrologie – Hypnose - Méditation
Pourquoi aller voir un sophrologue ? hypnothérapeute ?
L’alcool est social, festif, et fait partie des usages.
Et la dépendance à l’alcool est tabou. Ne pas boire d’alcool peut même sembler « louche », bizarre. Et, l’entourage amical, de travail, se fait incitatif dans la consommation.
Ainsi, boire est festif voire normal. Ne pas boire peut être considéré comme terne, « rabat joie » et « anormal ».
Mais,
à quel moment peut-on dire qu’on est dépendant à l’alcool ?
Et comment sait on qu’on est alcoolique ?
- Comme son nom l’indique, la dépendance indique le passage de la consommation plaisir à la dépendance.
- Alors l'addiction à l’alcool ou « alcoolo-dépendance » devient un besoin, une nécessité.
- Et ce besoin peut être conscient, mais est surtout inconscient dans un premier temps. Il s’agit :
- d’une sensation,
- d’une recherche de réconfort,
- d’un besoin de relaxation,
- d’une envie de lâcher prise,
- de l’envie de relâcher la pression,
- de combler la sensation de vide…
- La consommation devient alors régulière et la personne s’installe dans la dépendance à l’alcool.
- La dépendance est psychique, et puis physique. Le manque de l’alcool provoque des tremblements, anxiété, tremblements, sueurs, agitation, tachycardie, fièvre…
La sophrologie et dépendance à l’alcool – Hypnose, Méditation et dépendance à l’alcool, quand consulter ?
De la consommation plaisir à la dépendance à l’alcool, comment repérer les signes de la dépendance ?
Des signes peuvent vous alerter :
- d'abord, une consommation de plus en plus régulière
- puis, des quantités bues de plus en plus importantes; même s’il peut y avoir une dépendance quand les quantités qui ne sont pas « très » importantes. C’est aussi la façon de consommer qui va entrer en ligne de compte.
- et des conséquences négatives pour vous dans votre quotidien: difficulté à assurer la journée de travail, des relations conflictuelles avec les proches, l’entourage
- et, le fait de consommer de l’alcool seul peut être aussi un signe d’alerte (mais bien sûr, pas systématique non plus) ; en revanche, le fait de consommer de l’alcool « accompagné » ne signifie pas qu’il s’agisse forcément d’une « consommation « normale »
Ainsi, comme vous pouvez le lire, les critères se nuancent, il s’agit d’établir, de sentir la relation que vous avez avec l’alcool : une relation libre ou une relation de dépendance.
Et puis, des signes, symptômes physiques, émotionnels apparaissent en relation avec la dépendance à l’alcool :
- la perte de qualité du sommeil
- la prise de poids
- de la nervosité
- des problèmes digestifs
- des petits épisodes dépressifs
- une fébrilité émotionnelle
- de l’anxiété
Alors, être conscient de sa dépendance et se reconnaître dépendant est un premier pas décisif dans la libération de la dépendance. Mais il n’est pas facile.
- Le déni entoure la consommation dépendante d’alcool : « : je ne suis pas un alcoolique, d’accord, je bois un peu mais j’arrête quand je veux. ».
- Admettre que l’on boit c’est assumer l’étiquette renvoyée par les autres d’alcoolique…
- Il s’agit par exemple du profil de personne « bon vivant »: cette personne invite, est invitée pour un déjeuner, une soirée, une fête, bon camarade, en ami de tous les instants, en excellent collègue. Très naturellement, c’est chaque jour un apéritif voire 2 ou 3, boire du vin à table, un digestif pour clôturer le repas. Cette personne perçoit sa consommation comme « normal » : la quasi-totalité des malades ont commencé comme ça
- Autre profil, autre exemple et type de consommation : l’alcoolisation massive, notamment de fin de semaine. « l’occasion de faire la fête »
Et l’installation dans la dépendance se fait insidieuse et la personne avance d’une solitude dorée vers une solitude noire
- Solitude dorée: l’alcool accompagne les plaisirs, avec un côté extraverti. Les doses augmentent, la dépendance s’installe
- Solitude anxieuse: l’alcool envahit la vie, répond à l’anxiété. Le consommateur est piégé, mais le déni domine, tout comme l’anxiété, l’alcool calme et génère anxiété ou angoisse
- Solitude noire: en toute transparence, le buveur boit pour ne pas être mal. Il affiche son alcoolisation.
Sophrologie et dépendance à l’alcool – Méditation et dépendance à l’alcool Que peuvent apporter la sophrologie ? L’hypnose? La méditation ?
La personne alcoolo-dépendante va mener un double combat :
- Le 1er combat qu’elle livre est celui qu’elle mène vis-à-vis du produit
- Le 2ème combat est celui que la personne mène vis-à-vis de son entourage ; un combat vis-à-vis des autres.
L’accompagnement avec la sophrologie, la méditation, l’hypnose ne va pas remplacer une démarche médicale.
Et l’accompagnement va évidemment s’adapter à l’histoire de la personne et au moment précis de la prise en charge :
- où en est la personne dans son histoire avec l’alcool ?
- quel est son besoin ?
Alors, l’association de ces méthodes va permettre de :
- Travailler sur la (prise de) conscience, notamment avec la méditation
- Alors que le produit procure une dissociation : la personne est dissociée de son expérience
- La méditation va permettre au contraire de travailler sur l’attention et la pleine présence dans l’instant
- Travailler sur les causes, les nœuds émotionnels: quelle est la fonction de l’alcool ? comment l’alcool s’inscrit-il dans l’histoire de la personne ? son histoire familiale également ?
- Développer un équilibre corps/ posture – esprit /mental – émotions, notamment avec la sophrologie
Et concrètement, ce sont le cheminement se fera autour de différents axes, étapes de travail :
- Poser des mots sur le mal être
- Travailler sur les symptômes associés à la dépendance :
- Améliorer le sommeil, se rendormir plus facilement
- Apaiser le mental, soulager l’anxiété
- Apprivoiser et accueillir ses émotions
- Accompagner les prises de conscience
- Acceptation de la dépendance
- Relation à la consommation, comportements dans la consommation
- Perception de la « fonction », du « rôle » que joue l’alcool
- Développer une présence au corps et aux sensations corporelles
- Revenir dans son corps
- Écouter ses sensations corporelles, même dans ses manifestations en lien avec l’alcool
- Vivre son corps autrement
- Se reconnecter à ses ressources
- Se préparer au changement
- Travailler sur la motivation, le passage à l’action
- expérimenter le changement, les rechutes éventuelles, développer de nouvelles stratégies.
- Travailler sur ses valeurs, nouveaux modes de vie
En entament une démarche d’accompagnement avec ces méthodes, vous allez pouvoir :
- Être acteur et « reprendre » petit à petit le dessus par rapport à la dépendance.
- Être pleinement présent à vos expériences : une clé précieuse par rapport à une addiction qui dissocie !
La démarche de se libérer d’une dépendance est un chemin parfois sinueux, fait de tentatives, d’essais, jusqu’au moment où il y a ce fameux déclic. Ce déclic ne se commande pas. Seulement, il peut se susciter. Un livre, une rencontre, une méthode dont celles que je propose.
Et Le rythme des séances est adapté en fonction de vos besoins.
Tout comme le contenu des séances, entièrement personnalisé en fonction de vous !
Hélène Dujardin, votre sophrologue, hypnothérapeute, praticienne en méditation de pleine conscience, accompagnement dans le cadre de dépendance à l'alcool
Hélène Dujardin – sophrologue Paris 11 – cabinet de sophrologie Paris – hypnothérapeute Paris 11 – cabinet d’hypnose Paris – sophrologie – sophrologue certifiée RNCP – téléconsultations sophrologie – téléconsultations hypnose